QC
4 décembre 2013 | Québec
L’industrie de l’assurance et des services financiers est présentement très florissante au Québec et la pénurie de main-d’œuvre qualifiée dans ce domaine avantage les diplômés qui bénéficient de conditions très enviables une fois sur le marché du travail. Cette effervescence s’explique notamment par le départ à la retraite des baby-boomers et par la croissance économique du Québec. La Chambre de l’assurance de dommages et la Coalition pour la promotion des professions en assurance de dommages prévoient que plusieurs milliers de nouveaux postes en assurance de dommages seront créés dans la province d’ici 2015.Il faut dire que l’assurance de dommages est un milieu diversifié qui offre de nombreux défis et un travail stimulant avec de nombreux avantages tels qu’un salaire de départ intéressant, de grandes possibilités d’avancement, un marché en constante évolution et la possibilité de créer une entreprise de courtage, de devenir actionnaire ou même, pour ceux que cela intéresse, travailleur autonome.
Le quotidien des travailleurs de l’assurance est exempt de monotonie puisqu’ils traitent avec des clientèles hétéroclites, des produits qui varient en fonction des besoins, un marché en constante évolution et des situations hautement diversifiées.
L’entregent, la capacité d’écoute et l’esprit d’analyse sont les attributs les plus recherchés pour des postes comme agent ou courtier en assurance de dommages, expert en sinistre ou souscripteur. Les personnes évoluant dans ce secteur sont appelées à jouer aussi bien le rôle de conseiller auprès des consommateurs que celui d’accompagnateur auprès des clients victimes d’un sinistre.
C’est la raison pour laquelle les habiletés et les connaissances liées à la vente, à la négociation, à la communication et au service à la clientèle sont prioritaires dans le cadre de ces professions. De plus, on insiste sur l’importance de connaître à fond les produits et le marché des assurances.
Cela dit, ne devient pas professionnel de l’assurance de dommages qui le veut. Pour y parvenir, il faut réussir les examens, faire des stages, avoir le bon profil et la bonne attitude. Le professionnel certifié en assurance de dommages doit respecter un code de déontologie et maintenir ses compétences à jour par des activités de formation continue. C’est pourquoi tous les agents, courtiers en assurance de dommages et experts en règlement de sinistre doivent compléter un minimum de 20 heures de formation aux deux ans, faute de quoi leur certificat n’est pas renouvelé.
Lors de sa formation initiale, l’étudiant acquiert des compétences générales portant sur la communication dans les organisations, l’approche-client, les techniques de gestion de la qualité ainsi que sur l’utilisation d’un poste de travail informatique. Les notions et les connaissances que l’étudiant acquiert lors de sa formation sont pratiques et lui seront utiles pendant toute sa vie, aussi bien personnelle que professionnelle.
Une fois sa formation achevée, l’étudiant devrait être en mesure d’analyser un risque, d’assurer le service à la clientèle dans les différentes fonctions de son travail, de faire la promotion des produits d’assurance de dommages, de conclure une transaction, de recevoir et de diriger la réclamation et de régler un dossier et d’en assurer le suivi. La formation proposée par le Collège CDI, qui est reconnue par l’Autorité des marchés financiers, prépare les étudiants à effectuer toutes ces tâches.
Si une carrière dans le domaine de l’assurance vous intéresse, vous serez heureux d’apprendre que le programme d’Assurances de dommages des particuliers est offert aux campus CDI d’Anjou, de Laval, de Longueuil, de Montréal et de Pointe-Claire. Il s’agit d’un programme qui mène à l’obtention d’une AEC. Pour plus de renseignements sur ce programme, remplissez le formulaire situé à la droite de l’écran.
